Mousse spéculoos façon tiramisu.

Helllllooo,

Si tu aimes le tiramisu, si tu sais monter des blancs en neige et que briser des spéculoos dans un sachet congélation à l’aide un rouleau pâtissier ne te fais pas peur… cette recette est pour toi !

En cette période pré-hivernal aux journées raccourcies et aux températures un peu limites ( ben quoi, j’ai le droit de râler un peu ;P ! ), le réconfort culinaire c’est un peu la base de ta suivie ! Enfin, de ma survie… 😀

Pour cela, je vous sort le grand jeu avec une mousse spéculoos délicieusement réconfortante. Légère à souhait, pas trop sucrée, relevée par le goût emblématique des petits biscuits belges à la cannelle.

Voici les ingrédients de ce petit moment de bonheur dans vos longues soirées d’hiver :

3 œufs – 10 biscuits spéculoos – 2 cuil à soupe de sucre – 250g de mascarpone.

Dans un premier temps, on sépare les blancs des jaunes d’œufs. Puis on mélange les jaunes avec le sucre. On incorpore le mascarpone au mélange sucre – œufs. Et pour finir, on monte les blancs en neige que l’on va délicatement incorporer à la crème mascarpone – jaune d’œufs – sucre. C’est là que vous sortez vos rouleaux à pâtisserie, le sac congélation, les spéculoos et hop on donne tout pour les réduire en miettes ! Enfin, préparez de jolies verrines, que vous passerez ensuite au frais pendant 2h00. Et voilà, un dessert délicieux, pas trop compliqué à réaliser et convivial 😉 !

mousse de spéculoos 7

mousse de spéculoos

mousse de spéculoos 5

Mille bises de spéculoos.

Sofia.

Miam, des madeleines !

Helllooo,

Je pense ne pas me tromper en disant que l’on aime tous les madeleines ! En tout cas, personnellement J’ADORE !

Ce petit goût beurré, cette texture moelleuse, un vrai réconfort, un câlin, une caresse. Le bonheur. Proust ne s’était pas trompé ( facile, celle-là, je vous l’accorde ! ). C’est la deuxième fois que je me lance dans la réalisation de ce petit gâteau au goût d’enfance. La première fois, elle étaient trop cuites et la bosse légendaire des madeleines n’était pas au rendez-vous.

Alors, cette fois-ci, je me suis renseignée. J’ai travaillé sérieusement le sujet. Ah oui, dès qu’il s’agit de se régaler, je prends les choses très à cœur ! J’ai vite compris mon erreur, pour obtenir de belles madeleines bien bombées il faut laisser reposer la pâte au frais toute une nuit. Autrement dit, on prépare l’appareil ( tellement classe d’utiliser le langage « pro » ) à madeleine la veille et hop hop au frigo, pour que le lendemain à la cuisson, vous puissiez faire des bons de joie devant votre four. Ben quoi, vous faites pas ça vous ?

Aller je vous entends déjà réclamer la recette, un filet de bave au coin des lèvres 😉 !

Pour de jolies madeleines bien bombées, il vous faut :

150 g de farine – 100 g de sucre – 2 œufs – 60 g de beurre – 5 cl de lait – 1 orange – 1 citron – 1 cuil. à café de miel – 1/2 gousse de vanille – 1 cuil à café de levure chimique.

( On hésite pas à doubler, ou même tripler, les quantités pour les grands gourmands ! )

On mélange au fouet le sucre avec les œufs. Dans une casserole, on faut tiédir le lait, on ajoute le miel et la gousse de vanille fendue en 2 et grattée. On laisse infuser 5 minutes. On retire la gousse de vanille, et on ajoute le lait au mélange sucre – œufs. On incorpore la farine et la levure, on ajoute le beurre fondu très chaud et les zestes de citron et d’orange. Après une bonne nuit de sommeil au frais ( pas vous l’appareil à madeleine !), on garnit nos moules à madeleines et on enfourne 5 mins à 200 °C, puis on baisse la température à 160 °C pour 5 mins encore.

madeleines 3

madeleines 2

camilou et les madeleines

DSC_0041 copie

 

Voilà 😉 bonne régalade !!!

Mille bisous bombés.

Sofia.

Billet d’humeur 2 : Ne plus regarder les reportage sur les familles nombreuses !

Helllooo,

Attention, je vous rassure, je n’ai absolument rien contre les familles nombres !

Je suis même en total admiration pour ces femmes qui ont eu le courage de vivre autant de grossesses ( non parce que moi je suis une larve les 3 premiers mois et après je rêve d’accoucher dès le 8ème mois ! ). Sans oublier le courage d’accoucher autant de fois ( tu crois que quand tu accouches pour la 8ème fois, le bébé sort tout seul, pendant que toi tu converses à l’aise dans la position du lotus avec les sages femmes ?!). Non mais sérieusement, c’est une sacré compétence que d’accoucher ( que visiblement, je n’ai pas ! ). Il en faut du courage, de la patience, du sang-froid et de la détermination !

Et je te parle même pas de la vie de tous les jours avec plus de deux gosses à la maison. Quelle organisation de malade ! Tu imagines les courses au supermarché entourée de tes 10 mioches avec, minimum, deux cadis pleins à craquer ! Je ne te parles même pas des repas à préparer et des machines à faire tourner …

Enfin bref, je voulais vous faire part de mes impressions après le reportage de l’autre jour.

Ce soir là, j’ai découvert une super maman aux mille et unes qualités. Autant te dire que je me suis sentie légèrement nullissime, tu vois ! Attends, parce que toi aussi tu vas culpabiliser. Nous avons donc fait la connaissance d’une maman qui est à la tête d’une jolie tribu de 7 enfants, dont un nouveau né.

Bien- sûr, elle prône le fait maison pour ABSOLUMENT tout, le bio, l’éducation bienveillante, le rapport à la nature etc, etc… C’est à dire que, lors de ce merveilleux reportage nous avons assister à un « atelier ; je confectionne mes produits ménagers naturels entourées de mes 7 enfants sans le moindre problème à l’horizon, finger in the noose ». Et oui, les gars, non seulement, la nana fabrique ses produits ménagers elle-même, mais ses gosses ne bronchent pas un seul instant pendant ce super moment de cohésion familial. Bien-sûr elle pratique le portage avec son nouveau né, qui lui aussi, n’a, à aucun moment de ce merveilleux reportage, émit le moindre son.

Et cerise sur le gâteau (vous me voyez venir…) elle fait l’école à la maison ! Voilà, c’est fait, là tu te dis ; honte sur moi et ma famille sur cinq générations, moi qui béni l’école et qui tire la tronche quand la maîtresse est malade !

Aller les filles dites moi que vous aussi, vous êtes bien loin de ce tableau idéal !  Un peu de solidarité entre mamans qui utilisent encore la bonne vielle lessive bien chimique, qui donne des goûters indus à leurs gosses et qui vivent très bien le lundi matin 8H30 !

camilou par oct 2018

Mille bises décomplexées ( ou pas !)

Sofia.

Billet d’humeur 1 : comment j’ai résisté aux vacances de la Toussaint !

Hellloooo,

Les vacances scolaires sont finies, les enfants sont retournés à l’école et nous… on souffle un peu ( Ok ça fait déjà plus d’une semaine, mais bon on se remet plus ou moins vite ) !

Et oui, les gars, voici mon sujet de prédilection : les vacances scolaires !

Hum, de doux souvenirs te viennent en tête, des moments de partage avec ta progéniture, des réveils cocooning dans le lit parental après une belle grasse mat’, les activités automnales do it yourself tellement fastoches pour toi !

Mouais, les vacances c’est loin d’être aussi idyllique que ça, faut pas se mentir ! Ben oui, comme je le disais l’année dernière, à peine as-tu eu le temps de t’habituer au rythme salvateur des journées d’école ( avec option cantine, hein !) que bim… voilà les vacances !

Perso, cette année je ne les ai pas vu venir… c’est la copine de mon frère ( t’as vu ari je parle de toi ici 😉 ), qui me la gentiment rappeler une semaine avant. Imaginez ma tête !

Moi, celle qui venait tout juste de sortir de deux mois de vacances d’été ! Ces vacances où tous les jours tu te dis que la fin n’arrivera jamais, et qu’ils auront ta peau au moindre moment d’inattention ! Merci, tout de même à Vaiana qui nous a bien sauvé la mise et à la halte garderie qui nous ouvert ses portes pour des demies-journées en plus ( si tu passes par là , coucou Monia 😉 ).

Mais vous savez quoi ? J’ai résisté à ces vacances, oui, j’ai géré mes deux semaines assez correctement. Je peux le dire je suis assez fière de moi ! Mais, bon sang que ça fait du bien quand arrive le jour de la rentrée 😀 !

le gouter des vaca,ces

muffins et petites mains

Mille bises d’écoliers.

Sofia.

Mousse au chocolat simplissime !

Hellooo,

Gourmandise extrême aujourd’hui sur le blog !

Le chocolat c’est la vie, on est bien d’accord. C’est tout naturellement qu’il était urgent que l’on aborde le, oh combien sérieux, sujet de la mousse au chocolat ici ! 

La mousse au chocolat que je vous propose aujourd’hui ( oui, parce qu’on a pas fini de traiter du sujet, ça c’est sûr 😛 ! ) est une version simplissime. Objectif ; légèreté et intensité du goût chocolaté.

Il vous faudra très peu d’ingrédients pour cette mousse, le chocolat fait tout !

Pour cette mousse ultra simple nous avons besoin :

  • 100 gr de chocolat noir ou de chocolat au lait.
  • 3 œufs entiers

Simplissime, je vous l’avez dit !

La seule compétence qui vous sera demandée sera de monter des blancs en neige ( et de résister à la tentation de lécher le bol… encore entier ! ).

Faîtes fondre le chocolat au bain marie ( au micro ondes ça marche bien aussi 😉 ), séparez les blancs des jaunes. Montez les blancs en neige, mélangez les jaunes avec le chocolat fondu.

Et enfin, incorporez doucement, gentiment, avec amour, les blancs au mélange choco fondu et jaunes d’œufs. Et voilà, le tour est joué, réservez-les au frigo, loin des gourmands.

Et surtout, ne vous gênez pas, léchez la spatule !

choco fondu pour mousse au choco copie

mousse au choco 1 copie

pots de mousse au choco 3

mousse au chocolat et framboise

spatule de choco

bouche de chocolat

Bonne régalade à tous !

Mille bises chocolatées.

Sofia.

 

 

 

Un dimanche d’automne au marché.

Hellooo,

L’automne s’est bien installé et les arbres déploient un spectacle somptueux aux couleurs chatoyantes. Je commence peu à peu à apprécier cette saison. Il faut dire que je suis une amoureuse du printemps et de l’été. Grande frileuse, la chaleur de l’été me va bien !

C’est surtout que j’adore les longues journées estivales qui nous permettent de faire mille choses et de savourer les jolies soirées d’été. Avec le temps, et la vieillesse ( oui, oui, on peut le dire ), j’apprécie le côté cocooning de l’automne. Le combo plaid, chocolat chaud m’enchante totalement ! Et puis, on ressort les pulls doudous, les écharpes, les manteaux.

Je pense surtout que ce repos imposé est le meilleur moyen d’apprécier le renouveau du printemps que j’aime tant. Accepter tranquillement le changement de rythme, la baisse de la luminosité, les journées courtes et froides, autant d’enseignements que la nature nous offre.

Dimanche dernier, nous avons profité du soleil automnal pour aller flâner au marché à la recherche de bons produits locaux. J‘en ai profité pour emmener mon appareil photo. Les marchés sont des lieux magiques, les produits sont mis en scène tellement naturellement. J’aime l’idée qu’il n’y a rien à ajouter, les légumes, le pain, les fromages, il ne manque que les mains endolories et courageuses de ceux / celles qui les produisent.

feuille automne 1

feuilles d'automne 3

feuille morte sur bitume

légumes automne noir et blanc

légumes d'automne au marché

fromage du marché oct 2018

tresses d'ail du marché

pain d'artisan

pain du marché

légumes octobre noir et blanc

linette octobre 2018

lina mange une fraise

jolies feuilles rouges

Bon dimanche d’automne à tous.

Sofia.

Quand la tarte nous fait sortir du moule !

Hellooo,

Aujourd’hui, je vous parle de tartes !

Et si c’est bien connu qu’à trop vouloir rentrer dans le moule, on devient tarte… ça ne nous gène pas nous ! Okay, j’avoue cette citation tombe comme un cheveu sur la soupe, mais je voulais absolument la casser ;P !

La tarte dans tout ses états.

Plus sérieusement, les tartes c’est quand même super bon et pas trop compliqué à réaliser. On peut en faire avec à peu près tout même aux brocolis ! La tarte rustique, la plus léchée, la sucrée, la salée, la tatin sucrée ou salée, la fine, la feuilletée, celle aux fruits cuits, aux fruits frais…Bref vous l’aurez compris ; tout est possible avec la tarte !

Côté technique, là aussi tout est envisageable, faire la pâte soi même et s’en mettre plein les mains ou bien tout simplement dérouler une pâte toute prête.

Chez moi, les deux cohabitent très bien ! Je suis à la fois partisane de la bonne pâte maison qui fleure bon le beurre. Et en même temps, je suis pas contre la pâte indus qui dépanne bien !

Aller je suis sympa je vous donne la recette de la pâte sablée parfaite pour vos tartes gourmandes aux fruits ;

Pour 8 personnes – Préparation : 15 mins – Repos : 30 min.

160 g de farine – 100 gr de beurre – 50 g de poudre d’amandes – 50 g de sucre glace – 3 jaunes d’œufs – 1 pincée de sel.

Passez le beurre quelque secondes au micro-ondes afin de le ramollir. Mélangez-le avec le sucre glace et le sel jusqu’à obtention d’un mélange homogène. Ajoutez la poudre d’amandes, les jaunes d’œufs, mélangez et incorporez la farine. Laissez reposer la pâte 30 minutes au réfrigérateur avant de l’utiliser. Faites-la cuire à 160 °C.

Et surtout, ne jetez pas les blancs d’œufs faites des langues de chat 😉 la recette c’est ici !

fond de tarte et rouleau patissier

mini tarte prunes

tarte pommes compote fraise

Mille bises les tartes !

Sofia

Finis ton assiette !

Helloooo,

Oh le sujet bien compliqué en perspective ! Et oui nous allons parler popote , mais du point de vue de nos enfants. Et ça, ça change la donne et oui…

Parce que l’heure du repas peut rapidement être synonyme de prise de tête, la question de l’alimentation est centrale dans nos vies de mamans.

L’alimentation des enfants, grosse pression pour tout parent.

Qui n’a pas connu cette scène désopilante durant laquelle tu supplies ton enfant de goûter à ce plat que tu as préparé en prenant soin de ne choisir que des aliments qu’il pourrait tolérer. Et oui, parce qu’il ne s’agit pas juste de les nourrir, nos gosses, il faut aussi s’assurer qu’ils aient une alimentation équilibrée. Oui, oui, avec les fameux cinq fruits et légumes par jours… Merci la pression sociale. Sans parler des mouvances healthy food ; « gluten free » , »végan » « zero sucre » et j’en passe.

Perso, je vise juste le repas basique « légumes, protéine, féculent » et ça sera déjà pas mal, hein ;P !

Nous ne sommes pas tous égaux face aux estomacs !

Je pense qu’il est important, dans un premier temps, de reconnaître à quel estomac on à faire. Chez moi, par exemple, j’ai un petit moineau et un gros estomac dans un petit corps. Autrement dit La Linette n’est pas franchement facile à séduire ( sauf s’il s’agit de bonbons, de glaces ou de chocolat… ben oui !!! ) et Camilou aspire assez facilement tout ce qui traine sous son nez…

Du coup, j’ai testé plusieurs solutions pour rassurer ma conscience de maman, parce qu’on peut le dire… les enfants ça ne se laisse pas mourir de faim, c’est sûr mais ça n’évite pas la culpabilité des parents…

Ce qui a marché pour ma Linette ;

  • étonnamment les plat mijotés où on ne voit pas les légumes, exemple couscous, pot au feu, potages, veloutés…
  • les samoussa, le côté croustillant de la feuille de brick lui plaît bien.
  • les beignets de légumes, je n’ai testé que le beignet de courgette qui rencontre, parfois, un petit succès. C’est un peu la loterie, en fait, cette histoire de bouffe, parfois c’est bingo et parfois c’est le flop.
  • les pâtes bien sûr, est-ce qu’on peut dire que la bolo c’est équilibrée ?

À côté de cela, j’ai pu glaner, de-ci de-là, quelques idées :

  • emmener l’enfant faire les courses pour qu’il se sente impliqué dès le début de la préparation et du coup l’inviter à participer en cuisine.
  • préparer une liste de menus à l’avance et organiser une « réunion spéciale menus » durant laquelle les enfants choisissent le planning des menus de la semaine en fonction de la liste que l’on leur aura proposée.
  • faire du jardinage avec nos enfants, ou leur proposer des ateliers jardinage si on a pas de potager. Comprendre comment poussent les légumes leur donnera peut être envie de les manger…
  • lire des albums jeunesse autour du sujet, ça a, au moins, le mérite de dédramatiser la situation.

Lâcher prise : le maître mot !

Je terminerai en suggérant, en toute modestie, qu’encore une fois le lâcher prise est notre meilleur ami. Enfin si on en a la capacité, hein ! C’est comme tout, plus facile à dire qu’à faire…

Si vous avez des astuces, ou carrément le secret pour que nos gosses mangent des brocolis sans la moindre réticence et demandent du rabe N’HÉSITEZ PAS 😀 !

légumes automne noir et blanc

Aller bon courage à nous et bon appétit ;).

Mille bises équilibrées.

Sofia

À la rentrée, tout est possible !

Helllloooo,

Ça n’aura échappé à personne c’est la fin de l’été et avec cette nouvelle bof bof, voici que rapplique la rentrée ! Okay, comme tous bons parents qui se respectent j’ai éprouvé une certaine joie à l’approche de cette reprise de l’école. Et oui la mère indigne que je suis était rassurée à l’idée qu’elle allait retrouver un foyer – quasi – calme. Et oui, Rappelez-vous que mon deuxième est encore à la maison avec moi !

Et puis la rentrée est synonyme, aussi, de renouveau, de reprise professionnelle. Et la mère au foyer que je suis commence à en rêver de cette rentrée pro. J’ai aimé être au côté de mes petits, tout partager de leurs premières années était essentiel pour moi. Maintenant qu’ils ont grandi et que ma patience a fondu comme neige au soleil, hum, je ressens l’envie de voler vers de nouvelles aventures. Ça fond vite la patience, surtout après 4 ans de bons et loyaux services au sein de ta propre startup familiale, crois moi !

La grande passionnée que je suis s’est torturée la cervelle dans tout les sens. Vous comprenez bien qu’il est impossible d’être à la fois céramiste, pâtissière, fleuriste, wedding planner, illustratrice, décoratrice, styliste culinaire, critique gastronomique… liste non exhaustive…

Mais me direz vous, tu avais bien un métier avant d’être maman ? Oui, effectivement j’ai été chargée de communication durant 4 ans. Cette expérience m’a beaucoup fait évoluée et m’a donnée mes premières responsabilités. Et pourtant, ça n’allait pas. À force de dire que je m’occupais de la communication, je me voyais attribuer des missions toutes plus différentes les unes des autres. Il est évident qu’il s’agit d’un métier où l’on est polyvalent et cela me plaît. Pour autant, je trouve que l’on peut vite s’y perdre et s’éloigner du métier de base, ce qui crée, en tout cas pour moi, une instabilité très inconfortable.

Du coup, à la suite de cette première expérience professionnelle, j’ai voulu totalement oublier la communication. Et comme, les envies c’est pas ça qui manque par ici. Je me suis perdue dans un océan de possibilités. Les tests de personnalité et autres bilans de compétences faisaient ressortir mon côté « artiste ». Okay, c’est cool mais ça veut dire quoi ?

Puis j’ai compris que ce fameux côté « artiste » ne voulait pas forcément dire créateur d’objets tangibles et englobait la création dans son sens large. Aussi, j’ai pris conscience que l’on pouvait créer des concepts, des projets, des idées et surtout des textes.

C’est à ce moment là que ma copine, la communication, est revenue pointer le bout de son nez ! Et évidemment, j’ai compris que c’était un domaine qui me plaisait beaucoup, la preuve je communique ici avec vous depuis plus de 2 ans maintenant !

Avec le temps, j’ai compris aussi que j’avais besoin de cibler les actions de communication que je prenais plaisir à effectuer dans le cadre du travail. Et j’ai vite compris que j’aimais beaucoup écrire. Et que j’adore chercher le mot juste, jouer avec les genres et faire passer une émotion à travers un texte juste et clair . Et puis il faut dire que l’écrit a toujours été mon canal de communication préféré. Quand j’étais petite et que je me comportait mal avec mes parents, si si, je leur écrivais des lettres pour m’excuser et je les glissais dans la poche de leurs manteaux… D’ailleurs, on est toute d’accord pour dire que les mots doux c’est quand même plus romantique quand ils sont écrit 🙂 .

Tout ça pour dire que je suis en train de travailler sur mon projet. Ça y est je vais me lancer, et j’ai peur ! Je lance donc mon activité de rédactrice freelance. Voilà, je l’ai écris, je ne peux plus me défiler et surtout en écrivant ça ici je compte bien me donner les moyens d’y arriver !

vase transparent ortensia

Affaire à suivre les amis, je reviens très vite vous en parler 😉 .

Mille bises de rédactrice !

Sofia.

À 30 ans ; j’ai décidé d’être vraie !

Hellloooo les amis,

Et voilà, j’y suis ; la trentaine m’a ouvert ses bras. Je fait partie du club des trentenaires. Qu’on se rassure, je ne suis pas de celles qui vont se ruer à la parapharmacie à la recherche du parfait anti-âge… Il paraît même que c’était à 25 ans qu’il fallait s’y mettre ! J’avoue que, pour le moment, ça me passe totalement par dessus la tête.

Pour moi, le cap des 3O ans représente plus un bouleversement indescriptible, impalpable qui s’opère en nous. On ne peut pas dire que l’on passe une journée comme les autres. Personnellement, j’y ai beaucoup pensé avec toujours cette même question : « Qu’est-ce que ça fait d’avoir 30 ans ? ». J’ai tourné, retourné la question dans tous les sens. Et j’ai compris que bien plus que la peur de vieillir, ce qui se joue à se moment là est plus profond. Je me suis rendu compte à quel point le temps est incontrôlable, tellement fugace, totalement inéluctable et surtout souverain.

Et c’est bien ça le fond de la question ; le temps.

Le temps passe inlassablement et avec lui il entraine nos vies, nos âmes, nos destinés. J’ai compris que ce cap des 30 ans me renvoyait aux changements qui s’imposent à nous. Et en même temps, j’ai remarqué que cet anniversaire sonnait comme le moment de l’affirmation de soi. Paradoxalement, à côté de ces changements on prend conscience de qui l’on est. L’enjeu, je pense, consiste à s’assumer, s’accepter et s’aimer tel que l’on est. Se faire confiance finalement et se lancer dans la vie à visage découvert (et sans crème anti-rides 😉 ).

Pour la petite anecdote, cette fameuse journée de mes 3O ans m’a montré combien je ne pouvais pas échapper à mon « moi » profond. Bien avant, qu’arrive mon anniversaire, j’ai répété plusieurs fois que j’adorerais que l’on me fasse une surprise pour mes 30 ans, que mes proches me montrent leur affection en organisant une petite attention rien que pour moi… Et bien c’était peine perdue ; j’ai tout fait capoter parce que mon côté  » je gère tout, je m’occupe de tout, c’est moi qui contrôle » a pris le dessus. Alors ; soit mon entourage n’est vraiment pas doué, soit j’ai une réelle intuition qui me permet de sentir de loin les plans secrets…

Bien sûr, je me suis énervé, j’en ai voulu à mes proches, j’ai même boudé (hou c’est moche à 30 ans 😀 ). Et puis j’ai compris, j’ai compris que je suis profondément moi et que je m’y échapperai pas. Tout gérer ; c’est dans ma nature ! Pas la peine d’aller contre cela, pas la peine non plus de vouloir faire comme tout le monde. La prochaine fois je prendrai les devants et puis c’est tout 😛 !

Alors pour mes 3O ans je me fais le cadeau de pas être parfaite mais d’être juste moi, avec mes forces, mes vulnérabilités et mes tripes ! Et si c’était ça d’avoir 30 ans ? Si c’était d’arrêter de faire comme les autres parce que ça fait bien, parce qu’on a pas envie de se faire remarquer, parce que les autres savent mieux que nous. Si c’était de s’assumer pleinement !

Voilà, je suis Sofia j’ai 30 ans, je ne suis pas parfaite, je suis parfaitement moi  😀 !!!

livre cessez dêtre gentil

Le cadeau qui tombait à pic, un livre juste, concret et qui fait avancer. Merci à ma chère cousine 🙂 .

Aller les jeunes je vous laisse j’ai du boulot pour être vraie !

30 mille bises.

Sofia.